Référence aux Cabinets de curiosités des XVIe – XVIIe siècles européens, l’Antichambre des Merveilles est à l’image de ses prédécesseurs, rassemblant empiriquement connaissances, objets éclectiques et œuvres d’art. Quelque soit la bizarrerie de leur nature ou provenance, cette antichambre est un aperçu des merveilles de notre monde contemporain
Les cabinets de curiosités appartenaient historiquement aux gentilshommes, qui affectionnaient les récits fabuleux, artistiques ou scientifiques narrant la construction des mondes pluriels qui l’entouraient.
L’Antichambre des Merveilles, comme un lieu de transition, ouvre les portes de plusieurs possibles et scelle l’attente de phénomènes miraculeux.
L’Antichambre des Merveilles représente en soit une contradiction dans le terme même, perçu autant comme un lieu clos et confiné qu’un espace servant d’ouverture.
L’Antichambre des merveilles propose une initiation depuis le métro parisien vers l’inattendu, le rare et le précieux. Partant des profondeurs bruyantes de la capitale, les foules qui s’y engouffrent seront menées vers une exposition finale, à la galerie Art Ligue, à la lumière du jour. L’exposition fait sortir le studiolo de son écrin feutré et joue, ici, un rôle primordial en conjuguant l’ancien à la modernité.
Antichambre des merveilles – communiqué de presse (à télécharger)
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